Le président Félix Tshisekedi, a indiqué à New York que la RDC rencontre toujours des difficultés pour attirer des investisseurs dans le projet hydroélectrique d'Inga.
C'était en marge de l'Assemblée générale annuelle des Nations Unies, il a évoqué un intérêt de la Banque mondiale et de la Chine pour ce projet de plusieurs milliards de dollars.
Le projet qui vise à exploiter l'énergie du fleuve Congo, a subi des retards en raison de problèmes administratifs et de désaccords avec des partenaires.
Tshisekedi a ajouté qu'il avait déjà eu des pourparlers avec de nouveaux partenaires potentiels, y compris la Chine et la Banque mondiale.
"Nous sommes optimistes, en particulier parce que la Banque mondiale a de nouveau manifesté son intérêt," a-t-il dit.
Le président a également évoqué la possibilité d'un futur consortium impliquant la Banque mondiale, des investisseurs chinois, et peut-être même des Européens et des Australiens.
Il a noté que bien qu'aucun accord n'ait été conclu, l'intérêt est fort, y compris de la part de l'Afrique du Sud, qui voit dans le projet une solution potentielle à sa propre crise énergétique.
Avec Reuters
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